Courir ou vomir, il faut choisir.

Donc apres 3 jours d'eveil a la gastronomie [4 ans ici, et le manque d'argent, ca fait apprecier n'importe quel bol de soupe], a jongler entre les biscuits, le tea, l'entree, et le plat principal, ET le dessert, plus un fruit pour la route, et un cafe pour pousser tout ca pour la modique somme de... que dalle, nada [revelation quasi nirvanesque a l'acceuil de a conf: on pouvait cumuler English et continental breakfast (that's what I call best of both!), comme quoi un rien me met de bonne humeur].
Bref, apres trois jours de gavave blobesque, il etait presque temps de revenir a la soupe et au pain dur, le gras recommence a faire son nid, et moi je ressemble a un loukoum.

Donc direction la gym, avec une collegue sac d'os qui essaye de se persuader [et moi par la meme occasion] qu'elle a pris du gras a des endroits un peu etranges [les chevilles en l'occurence]. Bref, j'avais la flemme d'aller a circuit training, donc vu que hier on etait jeudi, et que le jeudi c'est boxacise, je me suis dit "banco, c est ce qu'il nous faut", ou plutot "pif paf pouf". Je m'attendai a trouver un cours a tendance aerobic, avec trentenaires graisseuse, le collant lycra assorti a la brassiere, avec option mini-short et VPL [visible panty lines, pour les incultes]. Que nenni, c'etait un cours, un vrai, avec des hommes, des vrais, de la transpiration, et un moniteur a la Harvey [Fat Club, ITV, culte]. Apres une heure de pompe, abdo, corde a sauter, shuttle run et autre traitement de choix, j'ai commence a regretter tous les cheese cakes, tout les puddings, et mon cumul de vin blanc de table [bon comme du vianigre].

J'ai fini l'heure a cracher mes poumons, comme tous les autres, avec l'estomac au bord des levres. Priceless.

Damn it! I'm a big slug....