A week to go

A week to go, and i'll be back in mingland
Une semaine a courir, donc.

La perspective de ne pas avoir tout bien prepare d ici la est de plus en plus evidente, surtout depuis que le Vieux Sage insiste pour que je retape toute ma calibration en quelques jours, alors que j'en suis toujours a theorifier sur le fragmentation pattern de mes molecules, un exercice que le biochmiste convaincu saura reconnaitre et juger a sa juste valeur: au choix "p'tain, c'est nul nul nul" ou encore "doomed doomed doomed". A savoir pourquoi on passe d'un loss 30 basic et straightforward [N=O of course] a un loss 17 [NH3? OH?] d'une molecule a l'autre [ou il n y a ni OH ni NH3 a perdre] reste un peu obscure. Tout ca pour dire que bon, tout de meme.

Tout est bon dans la fragmentation.

Bref, a par ca, il faut que je relise mon torchon de these, histoire de me rapeler comment je comprend a rien a tout ce que j ai ecrit il y a bientot 6 mois [p'tain, 6 mois, pourquoi pas 12 non plus...]. Je devais etre dans un etat second du aux kit-kats pour sortir des conneries et des theories pareilles, sur le dual role des lipases et leur implication dans la synthese des composes plik plak ou plok.

Bref, c'est tout moche.

Par la dessus, lire la litterature des examiners, qui est tout de meme fortement dull dull dull, a grand coup d'interactions plante-pathogenes.

Tout ca pour dire que c'est pas gagne. La dessus, passage obligé, a savoir ecrire aux copains de la bas, pour organiser une "celebration drinks" alors que je ne suis pas du tout sur d avoir quoi que ce soit a celebrer. Etape obligee de preparation a un echec eventuel, qui, si il arrive, me laisserait fort certainement 1) au chomage 2) sur le carreau.

Damn it, it's all doomed.

Sinon merci Neuro pour me rappeler l'existence du regroupement le plus con de l histoire, celui des gens qui s'ecoutent parler, ou presque. Ca m'aura occuper 10 minutes de non-fragmentation d'aller voir comment des annees plus tard, ils parlent toujours des memes conneries. Ah ah. Pour sur, ils ne connaissent pas les joies de la fragmentation.

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